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Tuxeur

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1- forest gump thème_______________
2- O Compassion de Mon Dieu__________
3- hillsongs Every move I make
4- hillsongs where the love last forever

samedi 29 septembre 2007

 

l'odyssée de la vie

jeudi 20 septembre 2007

 

faut il être fou ?

Croire encore... Quoi qu'on me dise quoi qu'il arrive
Je sais que tu es là, lorsque tout s'écroule sous mes pas
je peus compter sur toi, tu es là, lorsque ma vie est doute et peur , je sais que je peus avoir confiance en toi
Lorsque le Monde devient a mes yeux petits et tortueux tu me donne la force d'y voir un Monde où la paix et le bonheur peuvent être maitres, le premier la corde a la taille tu m'inssite à relever les manches ( faut il être fou pour vouloir vivre cette vie ? )
Une vie de sacrifices, de difficultés, de doutes , emplis d'un doux sentiment de folie

Je préfaire être fou et reconnus fou par tout les home , linge a la ceinture , que simple pierre du grand édifice humain

Si seulement nous savions , si nous n'hosions qu'un court instant levez nos manches, le Monde est a batir !
Soyons le Sel de la Terre et la lumière du Monde
Batisseur et non attentiste
je comprendrais surment jamais tout, peu m'importe
Ma vie elle est là et pour ça aucun doute il faut être fou d'amour pour la donner.

Je t'offre ma vie, en sacrifice de louange , pour la gloire de ton Amour

Que mes actes reflettes ta tendresse
que mon coeur brulant d'amour réchauffe le Monde
que mes mains grandes ouvertes servent les pauvres
que mes yeux pleins de douceur console l'âme en peine
que mon sourire pleins de tendresse donne la force aux fatigués
que mes jambes soit porteuse de ton message Vivant
que mes lèvre soit tes lèvres

dimanche 16 septembre 2007

 

vouloir n'est pas aimer


un jour tu m'as dis :

vouloir n'est pas Aimer
attirer n'est pas Aimer
avoir envis n'est pas Aimer
pour soit n'est pas Aimer


chercher le bonheur de l'autre c'est Aimer
savoir attendre c'est Aimer
ne rien attendre c'est Aimer
et surtout savoir être discret c'est Aimer



aimer pour l'autre et non pour soit
aimer par soit et non par l'autre

aide moi a en faire autant, pour que l'amour que je porte transforme les coeurs, les esprits et les visages. Et qu'enfin je pocède un coeur qui irradie l'Amour.




samedi 8 septembre 2007

 
Je ne cherche pas ici a faire passer un idée ni a bourré les esprit avec des idées toutes faites ni a faire valoir les idées de l'Eglise, simplement a faire réfléchir sur des Questions importantes avec des arguments solides, certains dirons que c'est peut être trop classique comme sujet... qu'ils ne fassent qu'une recherche sur internet pour savoir comment se passe un avortement qu'ils voyent les images réels, qu'ils se rendent compte de ce que l'on fait réelement, "assurez vous de la cause avant de courir au fait" et ils comprendront pourquoi ce sujet me tien tant à coeur

Aujourd’hui une grande majorité de Français sont pour l’avortement légal perçu comme un moindre mal. Attachée à la merveille qu’est la vie humaine dés son commencement, l’Eglise catholique s’y oppose fermement.

Rome incorrigible rétrograde ?, hostile au progrès en général et à la liberté des femmes en particulier ? S’opposer à l’avortement, n’est-ce pas irresponsable en restant insensible à la détresse de femmes qui ne peuvent pas garder leur enfant ?

“ Le droit d’avorter, n’est-ce pas pour une femme le droit de disposer de son corps librement, comme il lui plaît ? ”

Les femmes ont raison de tenir à leur liberté, en particulier celle de disposer de leur corps. Surtout quand ça les engage à vie ! Mais avorter ce n’est pas se faire arracher une dent : même tout petit, l’embryon humain est déjà (comme son nom l’indique !) un être humain ! Conçu d’un père et d’une mère il a dés la fécondation de l’ovule par le spermatozoïde une identité génétique à part entière. Si ce tout-petit-là est supprimé, il n’en existera pas de semblable à lui : les prochains seront ses frères ou sœurs, donc forcément différents... Les droits d’une femme ne peuvent pas empiéter sur ceux d’un petit qu’elle porte...

“ L’embryon est un être humain, oui, mais seulement après douze semaines. Avant cela il ne ressemble pas à un être humain... ”

Y a-t-il beaucoup plus de différence entre un embryon et un nouveau-né qu’entre un bébé et un homme adulte ? On ne peut tenir compte de l’apparence des êtres sans risquer de tomber dans un eugénisme grave, un refus radical de la différence... Est-ce que l’embryon devient subitement un être humain à la douzième semaine d’existence parce que la loi française se met à le protéger comme tel ? Devient-il soudain être humain alors qu’il n’était avant cela qu’un vague amas de cellules ? Non, bien sûr. Sa vie humaine a vraiment commencé, il est tout simplement en train de grandir, très vite d’ailleurs, car chez le tout petit, tout est à croître !

“ Il n’est pas un être humain, puisqu’il ne peut pas vivre sans sa mère, par lui-même ! ”

Un bébé de trois mois non plus ne peut pas vivre sans sa mère. S’il n’est pas nourri et protégé par les autres, il meurt.

“ Oui mais avant que ce soit légal, cela existait déjà, il faut pas se voiler les yeux... Avant que l’avortement soit autorisé, beaucoup de femmes mourraient parce qu’on faisait ça mal... ” Le meurtre aussi existe depuis toujours... Tuer son prochain aujourd’hui c’est prendre de sérieux risques de se blesser à vie. Faudrait-il légaliser l’assassinat, pour en sécuriser la pratique ?

“ Mais si la mère ne peut pas aimer son enfant, une fille violée, par exemple ? ”

Le viol est un acte atroce. La femme qui en est victime, brisée, doit être soutenue, aidée, autant qu’il est possible. Toutefois le drame a été commis, et de cet acte sexuel qu’elle n’a nullement souhaité, est issu un petit être en croissance qui est déjà humain, donc infiniment respectable. Bien sûr son père est un criminel, bien sûr sa mère ne l’a pas désiré. Mais lui, ce petit, il n’y est pour rien. Il est innocent, et maintenant qu’il existe, il a le droit de vivre. Si sa mère ne désire pas l’élever elle-même, nul ne peut le lui reprocher. Elle pourra accoucher sous X, et ainsi rester anonyme et le confier à une famille qui voudrait élever un enfant.

“ Mais cet enfant, qui commence si mal sa vie, il ne sera pas heureux ! ”

Pour vivre heureux, il faut d’abord vivre ! Ne pas lui donner cette chance, c’est opter pour l’extermination de tous les malheureux en décrétant à leur place que leur vie ne vaut pas la peine d’être vécue...

“ Mais lorsque la mère est en danger ? La mère doit-elle préférer sa vie ou celle de son enfant ? ”

Bien sur la vie d’un petit peut mériter tous les sacrifices, même le plus grand de tous. Mais quand l’Eglise nous annonce la beauté de la vie humaine dés son commencement, quand elle nous invite à la contempler et à la protéger courageusement, elle n’entend pas prendre à la place des personnes une telle décision.

“ Finalement, l’avortement est un problème uniquement féminin : les femmes restent seules au bout du compte devant la décision d’accueillir ou non de l’enfant à naître ... ”

C’est souvent le cas hélas mais bien anormal car on oublie un peu vite qu’il y a exactement autant d’hommes que de femmes concernés par l’avortement. Il n’y a que dans les chansons de Goldman que l’on fait un bébé toute seule ! L’enfant n’est pas plus celui de la mère que du père. Autant que les femmes, les hommes ont le devoir d’assumer les conséquences de leurs actes et la femme doit exiger la responsabilité paternelle de celui qui s’est uni à elle.

“ Quand malgré la lâcheté de son conjoint et l’incompréhension de son entourage une femme décide de garder un enfant qui arrive au mauvais moment, ne s’enlise-t-elle pas dans une détresse plus grande que n’aurait été celle d’un ‘IVG’ ? ”

A l’heure de devenir mère, qu’elle décide d’élever elle-même ou de confier son enfant, une femme a besoin d’être aidée. Elle vivra des moments difficiles, mais tous doivent s’efforcer de ne pas la voir contrainte à l’irréparable pour des raisons uniquement matérielles. Ces tourments cependant ne peuvent pas effacer la vraie joie de donner la vie, d’être mère. Les femmes qui songent à avorter méconnaissent bien souvent le drame psychologique que représente en fait un tel acte. Nombreux sont les témoignages de celles qui n’ont jamais pu oublier qu’elles étaient mères d’un petit qui n’avait jamais vu le jour... de celui ou celle qui aurait pu être là aujourd’hui.

Les chrétiens doivent être tout particulièrement solidaires envers les personnes (hommes ou femmes) qui vivent dans l’amertume qui suit un avortement. Mais il ne s’agit pas de juger qui que ce soit : nombreuses sont les femmes aujourd’hui qui ont avorté sans savoir ce qu’elle faisaient, ou encore sous la pression de leur entourage. Proclamer la vérité n’est jamais condamner son prochain, mais lui ouvrir les yeux, et le libérer.

“ pour conclure ? ”

“ La vie humaine doit être respectée et protégée de manière absolue depuis le moment de la conception. Dés le premier moment de son existence, l’être humain doit se voir reconnaître les droits de la personne, parmi lesquels le droit inviolable de tout être innocent à la vie. ” (CEC, § 2270)


 

pour la Vie


Quelle est la position de fond de l’Eglise sur l’avortement ?

Pourquoi l’église est contre l’avortement ? En cas de viol, pourquoi imposer de garder l’enfant ? Pourquoi donner la vie à un enfant handicapé, sachant qu’il va souffrir ?


- L’enfant encore à naître, dès l’instant de sa conception, alors qu’il n’est encore qu’un tout petit embryon a droit à la même dignité (qui commence par le droit à la vie) que toutes les personnes humaines. Si l’on ne peut pas définir l’instant à partir duquel l’ovule fécondé est pleinement un personne humaine, il n’y a pas d’autre solution acceptable que de lui donner dès l’instant de la fécondation tous les droits d’un personne humaine.

- Ce n’est que depuis octobre 2003 que le sénat américain a interdit la barbarie qui autorisait à tuer l’enfant jusqu’à la fin de l’accouchement.

- L’Eglise est contre l’avortement car elle est toujours pour la vie et la protège inconditionnellement, surtout là où elle est la plus faible, fragile et vulnérable. C’est ce qu’elle fait tout au long de l’existence (malades, personnes handicapées, vieillards...).

- L’Eglise est donc contre l’avortement car c’est un meurtre. Et plus la personne assassinée est faible, plus le meurtre et coupable. Or, nul n’est plus faible qu’un embryon.

- Lors du drame d’un viol, on ne répare pas les souffrances en tuant un innocent. Personne n’a demandé à ce qu’il vienne, pas même lui (aucun enfant ne le fait), mais cela ne saurait justifié qu’on s’en débarrasse parce qu’il dérange.

- Il est utopique de chercher à avoir un monde sans guerre, injustice, violence, exclusion, torture, tant qu’on laissera se dérouler cette première des guerres, violence, injustice, exclusion, torture. Surtout qu’elle touche ici à ceux qui n’ont pas même leurs cris pour se défendre La femme qui a déjà subi le traumatisme du viol n’a pas besoin qu’on y ajoute celui de l’avortement. C’est toujours une blessure d’une incroyable profondeur (contrairement à ce que prétendent beaucoup qui ont intérêt dans la question), car elle touche à la faculté de transmettre la vie qui est dans l’essence même de l’identité de la femme. On peut comprendre que la femme après avoir accouché ne puisse pas élever cet enfant qui lui rappelle son traumatisme. Cependant de nombreuses associations proposent de trouver des famille d’accueil qui vont l’accompagner pendant sa grossesse et qui sont prêtes à garder l’enfant si, une fois le premier choc passé, elle ne se sent toujours pas capable de le garder.

- Mère Térésa rappelait courageusement devant le Sénat Américain : "Quand l’enfant devient l’ennemi no 1, alors tout homme est susceptible d’être mon ennemi à abattre. Que tous ceux qui ne peuvent garder leur enfant me le confient"

- L’enfant qui viendra après celui qui aura été avorté risque d’être marqué par cet avortement précédent, car le lieu de sa croissance, qui aurait toujours du être le berceau de la vie, aura été marqué par la mort. De plus, à un niveau parfaitement inconscient, il saura que sa mère en aura rejeté un autre, avec tous les traumatismes que ça implique (ce point : à ne jamais dire en mission devant une classe par respect pour celles qui dans la classes auraient connu ce drame. Pas de cette manière).

- Il est faux de prétendre qu’un enfant handicapé est forcément malheureux. Ils sont souvent très joyeux. Et si il est vrai qu’il va souffrir, ça ne justifie aucunement qu’on le tue. Car nous passons tous par la souffrance à des degrés divers, sans que ça nous ôte le droit de vivre. La dignité de la personne handicapée, qui n’est aucunement atteinte par son handicap, interdit qu’on s’en débarrasse. Il est à noter que les personnes qui prétextent le bien de la personne handicapée pour justifier sa suppression sont rarement honnêtes : il s’agit de leur propre bien être, qui exige de ne pas avoir à s’occuper d’un plus faible, d’un "non-productif".

- On ne peut pas dire que l’Eglise considère l’avortement comme un péché extrêmement grave sans également rappeler que rien n’est au delà de la miséricorde de Dieu, que tout peut être pardonné si ce pardon et demandé d’un cœur sincère. Redisons aussi que nous savons bien que la plupart des femmes qui ont avorté ne l’ont pas fait de gaieté de cœur, mais ne sachant que faire d’autre, parfois avec des pressions immenses de la part de leurs familles et du corps médical.


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