C’est à vous que je parle, chefs de patrouille. Tout votre scoutisme est un ministère. Allez d’abord vers les brebis perdues de la Maison d’Israël – c’est-à-dire vers les petits catholiques abandonnés.
Allez, enseignez-les et faites-en des scouts pour mon amour.
Guérissez les malades, pansez les blessés, faites-vous infirmiers des corps et des âmes.
Purifiez ceux qui sont atteints de la lèpre du péché en leur apprenant à se confesser et en leur montrant la beauté de la vertu.
Et peut-être ressusciterez-vous ainsi les âmes en péché mortel.
Voilà vos bonnes actions.
Et il ne faut pas les faire payer, celles-là, ni les autres.
Dans vos voyages, ne vous encombrez pas de provisions, ni de vêtements de rechange ; et souvenez-vous que votre bâton n’est pas une arme, mais un secours pour votre fatigue, et surtout pour celle du prochain.
En quelque lieu ou village que vous arriviez, demandez où demeurent les plus honnêtes gens et campez sur leur terre. Soyez courtois et saluez-les en disant : « Que la paix du Seigneur soit sur votre maison. »
Vous avez des animaux comme emblèmes, et je ne vous en reprends pas, car j’ai créé les animaux et leurs qualités et j’en ai tiré des leçons dans mon Evangile pour les Juifs qui m’entendaient.
La brebis est douce, docile et bienfaisante.
Je vous envoie, mes scouts, comme des brebis au milieu des loups.
Méfiez-vous de ceux qui peuvent vous faire du mal.
Soyez donc prudents comme des serpents, et purs comme des colombes.
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