1- forest gump thème_______________
2- O Compassion de Mon Dieu__________
3- hillsongs Every move I make
4- hillsongs where the love last forever
samedi 30 août 2008
Aller jusqu'au bout de l'amour...
Aimer, oui mais jusqu'où ? Quel paradoxe entre nos désir d'un amour totalement oblatif, nous voulons tout donner à celui que nous aimons; et la réalité d'une fidélité qui coûte, et dans laquelle l'habitude se mèle avec son cortège de résignation. Aimer, oui mais notre culture nous montre que c'est de toute façons quasiment impossible... L'amour d'amitié est-il un désir vain ? Peut-on vraiment aimer notre ami, ou au fond s'agit il encore d'un amour de soi déguisé et subtilement plaqué sur notre ami ? Si l'amour d'amitié est un amour exigeant, il n'est pas pour autant impossible... La preuve en est que malgré toute nos difficultés, le désir d'aimer une personne et d'en être aimé est une constante dans le coeur de l'homme...
( a suivre résumé du topo de philo du festival st Jean )
Cela faisait quatre Jours et quatre nuits qu'il marchait aux prises avec un vent déchainé et glacial.Seul, à des milliers de mètres d'altitude. Sans dormir, sans boire et sans manger. Une terrible tempête avait plaqué son avion postal sur un rebord de la cordillère des Andes. Blessé éreinté, à bout de force, Guillaumet venait de s'abandonner aux doux linceul de la neige. Soudain, comme un coup de fouet, une pensée le reveille, le réssuscite : " si ma femme croit que je vis, elle croit que je marche. Les camarades croient que je marche. Je suis un salaud si je ne marche pas." il est reparti. " Ce que j'ai fait, je te le jure, aucune bête au monde ne l'aurait fait" ce sera la première parole intelligible que l'aviateur prononcera, trois jours après, lorsqu'il sortira vivant de son incroyable aventure. Et son geste est devenu pour nous les scouts, un clignotant dans les épreuves, une alarme : Remenber ! Quand tu descends la pente, souviens-toi de Guillaumet! Il y a Toujours en effet des moments d'épreuves dans la vie, plus ou moins graves, qu'elles soient physiques ou morales. Tout devient noir. Il semble que tout t'abandonne et que tu ne t'en relèveras jamais. C'est à ces heures de cafard que se juge un homme de foi et de volonté. Comme le véritable courage est sans doute de dépasser sa peur, la véritable espérance , est le désespoir surmonté. Avoir peur ou désespérer est humain. Avoir peur de sa peur ou désespérer de son désespoir est dégradant. Il faut sourire de ses doutes comme on rit de sa peur. Un démon est souvent caché derrière. " A quoi bon!" n'est jamais digne d'un scout. "Malheur a ceux qui n'ont pas cru en leur propre grandeur et ont sombré à jamais dans leur désespoir(...) L'homme qui croit en quelque chose se relève, sent en lui une force mystérieuse qui lui donne le courage de recommencer de repartir. La chance abandonne ceux qui s'abandonnent. La victoire est a ceux qui tiennent dans le dernier quart d'heure..."
La victoire est a ceux qui osent la dernière allumette. Car: "Il faut mieux allumer une seule et minuscule chandelle que de maudire l'obscurité" Oui le scout sourit et chante dans les difficultés. Quand il en bave sérieusement. Car Dieu aime ceux qui donnent en riant, ceux qui serrent les poings et qui ne lâchent pas ... leur croix. On ne doit en effet jamais se résigner à rien qu'a nos croix point de passage obligés de notre salut.
- Dis donc, tu penses que ça sera comment notre vie après la naissance ? - Notre vie après la naissance ? Tu crois à ces sornettes, toi ? - Mais bien sûr ! C'est le but de notre vie ici-bas. Nous avons été mis là pour grandir et nous préparer. Pour devenir assez fort afin d'affronter l'épreuve de l'accouchement et la vie à venir. - La vie du monde à venir ? Mais c'est complètement absurde ! Et selon toi, ça se passerait comment là-bas? - Je ne sais pas trop moi ! De toute façon, ça doit être plus lumineux qu'ici. - Ah oui ? Et qu'est ce qu'on fera? - On pourra... je ne sais pas, moi, se promener, manger des bonnes choses, voir de beaux paysages... - Manger quoi ? Se promener où ? Avec le cordon ombilical, on a déjà du mal à se retourner ici. Et puis quels spectacles ? Tu peux me décrire, toi, ce qu'il y a là-haut, comme tu dis ? - Ben... Evidemment, ça ne sera pas comme ici-bas. Il y a aura des différences... - Ah bravo ! Ça c'est une information ! Enfin, sois un peu raisonnable ; personne n'est revenu de là-haut ! Personne ! Avec la naissance, la vie se termine. Point ! - Bon, c'est vrai qu'on ne sait pas comment ça va se passer. Mais au moins, on découvrira notre mère! - Notre mère ??? Tu y crois toi ? Elle est où notre mère ? - Ben ici. Partout, autour de nous ! Sans elle on ne pourrait même pas vivre ! - Pure superstition ! Moi, je ne l'ai jamais vue "notre mère" comme tu dis. C'est un rêve bleu, notre mère ! D'ailleurs si elle existait, elle s'arrangerait pour qu'on soit un peu plus à l'aise ici-bas, Non, mon vieux, je te le dis : après la naissance, pfujttt ! Plus rien. Rideau ! - Je ne suis pas de ton avis. Tu sais, de temps en temps, quand nous sommes bien tranquilles, il m'arrive d'entendre quelquechose qui vient de là-haut. Comme la voix à peine perceptible et en même temps très proche d'une personne qui nous aime. Et cette personne, je suis sûr qu'on la verra un jour. Comme il me tarde de la rencontrer et de la connaître !
Discours de Mère Teresa aux médecins de l'Hôpital Genelli, qui aidaient à Primavalle (Rome) lors d'un des rassemblements mensuels de prière.
Demandons à notre Dame d’être une Mère pour nous en ce moment, surtout pour vous, médecins, rassemblés ici. Votre travail n’est pas seulement une profession, c’est une vocation. C’est une vie consacrée ; c’est ainsi qu’en touchant les maladies, en guérissant les maladies, Jésus dit : « C’est à moi que vous l’avez fait. » Comme votre cœur doit être plein d’amour, pour être capable d’aimer comme Jésus. Car les malades, les personnes seules, les désemparés, viennent à vous pleins d’espoir et c’est pour cette raison qu’il doivent pouvoir recevoir de votre part ce tendre amour, cette compassion. Les personnes malades et ceux qui souffrent, ne cherchent pas la pitié et la sympathie ; ils ont besoin d’amour et de compassion. C’est pourquoi il est très important que vous preniez conscience des mots du Christ. Jésus à dit : « C’est à moi que vous l’avez fait ». Car à l’heure de notre mort, nous serons jugés sur ce que nous avons fait pour Lui au travers des pauvres : « J’étais malade, j’avais faim, j’étais nu, je n’avais pas de maison et c’est à moi que vous l’avez fait. » [...] Et pour vous médecins, il ne s’agit pas seulement d’essayer d’aimer, « vous devez aimer ». C’est pour cette raison qu’avant de toucher un patient, avant d’écouter un patient, PRIEZ. Car vous avez besoin d’un cœur pur pour aimer ce patient. Et il faut des mains pures pour toucher un patient. Aujourd’hui, la médecine est devenue un business. C’est pourquoi je suis heureuse de vous voir, que vous soyez ici et que vous partagiez la joie d’aimer avec les Sœurs.
L’important n’est pas combien nous faisons, mais combien d’amour nous mettons dans ce que nous faisons [...] nous combattons l’avortement par l’adoption.
Je prierai pour vous, pour qu’au travers de ce travail de vos mains et de votre cœur, vous puissiez grandir dans la Sainteté. La Sainteté n’est pas un luxe réservé à un petit groupe de personnes ! C’est un simple devoir pour vous et pour moi.
Quoique vous fassiez aux malades et à ceux qui souffrent , c’est à Jésus que vous le faites. Vous êtes avec lui toute la journée. [...]
Priez pour nous, pour que nous ne gâchions pas le travail de Dieu.
C'est par un soir de fin d'hiver à la veille de nos fiançailles que je parti avec mes frères et me jetai dans la bataille mon coeur saignait de te quitter mais secrète fut ma douleur je jouais lebrave et je laissais de tes douxyeux couler mes pleurs!
Depuis dix mois que je combat, dans la pluie le vent la froidure, a chaque instant je pense à toi dans cette enferqui dure dure et je te couvre oh ma prière, chaque soir de mes plus doux mots et je presse le scapulaire que tu cousissur mon paletot!
Lorsque la nuit se fait trop noir, lorsque j'entend au loin les loups, lorsque me prend le désespoir, que mon front tombe sur mes genoux Je te contemple oh bien aimée tirant le fil de coton rouge et donné forme au coeur sacré mouillé des larmes de tes joues! Entre tes doigts qui vont et viennent traversant l'étoffe de lin renaît autant qu'il m'en souvienne, ta douce voix de séraphin. Je me repais de tes je t'aime dont j'ai tant besoin maintenant Ton scapulaire est monemblème, il est victoire des amants! Mais il faut qu'enfin je tedise Hier matin dans le allier, soudain rougissant ma chemise un coup de feu m'a terrassé Et je t'écris de ma litière où j'ai reçules sacrements après le trou a mon scapulaire à tes pleurs j'ai mêlé mon sang! J'ai ton amour comme viatique, ton scapulaire comme oriflamme, j'ai tes plaintes comme cantique...
Facile à dire ! Mais quand à 12-15 ans , on se sent embarqué avec son petit cartable de collégien sur le dos et ses baskets, dans les turbulences de la vie quotidiennes, on ne voit pas toujours très bien ce qu'on va pouvoir faire, soi, dans le grand bazar du monde actuel*; Alors, on navigue un peu au hasard, en attendant une éclaircie*; Il est plus que fréquents, en tout cas, qu'on ne sache pas trop, aujourd'hui comment trouver sa voie, sa voie a soi... vers le bonheur.
Il le faut pourtant ! Absolument, Et sans trop tarder. Car on n'a qu'une vie, n'est t'il pas vrai , une seule chacun, que personne, jamais ne pourra vivre à notre place. Même dans les pays les plus avancés où abondent les assurances tous risques et les tapis roulant respirer, aimer, mourir, sont encore des actes absolument personnels. A plus d'un égard, la vie reste un combat singulier et mieux vaut assurément tenter de s'en tirer vainqueur que de se résigner à n'y jouer qu'un rôle de minus ou d'esclave.
Savoir où l'on va, c'est d'abord être capable de concevoir un rêve! C'est à dire un but en altitude, un objectif... en plein ciel, un idéal ! Et n'est-ce pas à l'aurore de sa vie qu'on rêve le plus librement de la réussir en beauté? Il ne faut jamais avoir peur de rêver trop beau !
(Clair de Castelbajac) -------------------------------------------(Chiara Badano)
Les jeunes filles sont l'image précieuse de notre mère lorsqu'elle avait notre âge. Petites ou grandes, blondes ou brunes, elles sont claires, nettes et saines, et Dieu lui-même doit sourire lorsqu' Il les voit passer. Plus tard seulement, lorsque tu seras plus mûri, tu découvriras parmi elles, ta femme de demain. Aujourd'hui, considère-les tout simplement comme de franches compagnes. Une éducation faussée nous a trop souvent appris à ne voir dans la femme qu'une occasion de péché, au lieu d'y déceler une source de richesses.Mais sœurs, cousines, amies, camarades ou cheftaines, les jeunes filles sont les compagnes de notre vie, puisque dans notre monde chrétien nous vivons, côte à côte, sur le même palier. Sans doute la camaraderie entre garçons et filles est chose infiniment délicate, qu'il faut mener avec prudence et régler chacun pour soi à sa propre mesure. Mais c'est un manque a gagner certain que de négliger ce don de Dieu que sont les vraies jeunes filles. Elles ont une vertu de pureté dont le rayonnement nous est salutaire, à nous qui devons batailler sans cesse pour maintenir en nous cette même pureté. Si elles savent se tenir à leur place , et c'est d'elles uniquement que dépend, en leur présence, la tenue des garçons , leur influence peut être profonde. Il n'est que de voir, sur une plage ou à la piscine, les jeunes gens cherchant à éblouir les jeunes filles. Un regard admiratif, un sourire suffisent pour donner à un garçon le coup de fouet d'amour-propre qui le fera sauter, malgré sa crainte, du haut du plongeoir. Pourquoi, sur un plan différent, ce même regard et ce même sourire ne donneraient-ils pas à ce garçon plus de lumière et de cran dans sa vie? La chanson d'une eau vive entraîne loin du marais. La présence des jeunes filles écarte grossièretés et lourdeurs. Certaines d'entre elles, rencontrées aux heures mauvaises, vous clarifient littéralement l'âme. Nous sommes de grands garçons maladroits et patauds. Les jeunes filles nous forcent à la politesse et à la courtoisie. Leur grâce nous allège et rétablit l'équilibre. Nous sommes trop cérébraux. Les jeunes filles comprennent d'un seul coup avec leur cœur ce que nous disséquons péniblement avec notre raison. Leur présence est un apaisement. Elles sont un sourire et une douceur dans notre cercle de luttes. Mon Dieu, faites que nos sœurs les jeunes filles soient harmonieuses de corps, souriantes et habillées avec goût. Faites qu'elles soient saines et d'âme transparente. Qu'elles soient la pureté et la grâce de nos vies rudes. Qu'elles soient avec nous, simples, maternelles, sans détours ni coquetterie. Faites qu'aucun mal ne se glisse entre nous. Et que, garçons et filles, nous soyons, les uns pour les autres une source, non de fautes, mais d'enrichissement.
Nous voilà dans une époque de manque de confiance en soit " je suis comme ça... " NON ça n'est pas toi! c'est l'une de tes faiblesses mais tu peus être vainqueur !
De moins en moins de personne qui réfléchissent sur eux même. "Qui suis-je réellement ? " Or il faut se connaitre pour se donner. Et l'on aime pas si l'on ne se donne pas.
La liberté ce n'est pas de faire ce que je veux ou répondre a mes envies Alors il faut apprendre la maitrise de soit, pour devenir réellement libre
Nous voilà a une époque le regard des autres deviens la principale source de peur
Mon Dieu, je crois, j'adore, j'espère et je vous aime et je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n'adorent pas qui n'espèrent pas, qui ne vous aiment pas. Très sainte Trinité, Père, Fils et Saint Esprit je Vous adore profondément et je Vous offre les très précieux Corps, Sang, Âme et Divinté de Jésus-Christ Présent dans tous les tabernacles de la terre en réparation des outrages, sacrilèges et indifférences par lesquels Il est Lui-même offensé. Par les mérites infinis de son Très Saint Cœur et du Cœur Immaculé de Marie je Vous demande la conversion des pauvres pécheurs.
L'amour porté à Dieu et aux autres se vérifie par des actes, "l'amour prend chair"
Etre capable de voir en l'autre ses qualités, ce reflet de Dieu
La charité est aider l'autre à grandir, à découvrir, qu'il est image de Dieu, à lui faire voir ses qualités, lui donner des objectifs " tu es capable de faire ça, j'ai confiance en toi "
Les actes sont condamnable la personne ne l'est pas. " je condamne ton acte, mais j'ai confiance en toi pour aller plus haut"
Il faut redonner cette confiance en soit, qui a tant disparut,nous faire sortir de notre peur et de nos cachettes.
Si vous aimez vous n'aurez pas peur de dire qui vous êtes, de vous donnez, et vous n'aurez pas peur de faire confiance.
Vous ne serez juger que sur l'amour. Au ciel plus de foi ni d'espérance, seul demeure la Charité.
